Commentaire de Joseph Benson
1 Pierre 3:5,6
Car après cette manière à savoir, avec la sainteté intérieure et la clarté extérieure ; dans l'ancien temps Dans les âges patriarcaux; les saintes femmes qui se sont confiées en Dieu et n'ont donc pas agi ainsi par crainte servile, mais par véritable piété, et sont par conséquent dignes d'être imitées ; se paraient Leur parure, selon saint Pierre ici, était, 1er, leur soumission douce à leurs maris; 2d, leur esprit tranquille, ni effrayé ni étonné ; et, 3d, Leur comportement irréprochable, faisant toutes choses bien. De même que Sarah obéissait à Abraham Voir Genèse 12:5 ; Genèse 18:6 ; l'appelant seigneurEn gage de sa sujétion ; car les anciens, en donnant des titres de respect à leurs supérieurs, reconnaissaient leur propre infériorité. Par conséquent, en mentionnant le respect avec lequel Sarah parlait d'Abraham, l'apôtre laisse entendre qu'elle entretenait le plus grand respect pour lui, et un juste sens de sa propre soumission à lui.
Sarah était considérée par les femmes juives comme un modèle illustre d'épouse dévouée ; dont les filles ou les enfants, dans un sens spirituel aussi bien que naturel ; vous êtes ou montrez-vous être, et que vous avez droit au même héritage ; pourvu que vous fassiez bien. Remplissez consciencieusement tous vos devoirs conjugaux. Sarah étant constituée par Dieu la mère de tous les croyants, ( Galates 4:26 ,) de même qu'Abraham fut fait leur père, les croyantes du Pont, en imitant les vertus de Sarah, devinrent ses enfants, bien qu'elles ne descendent pas d'elle. Et n'ont pas peur avec étonnementTellement terrifié par l'appréhension de tout danger ou préjudice qui pourrait vous survenir à cause de votre piété, au point d'être découragé de votre devoir, ou amené, par crainte de déplaire à vos maris, à faire des actions contraires à votre religion. Car, tandis que l'apôtre enjoignait aux femmes d'être soumises à leurs maris, il les mettait en garde contre le péché, surtout le péché d'idolâtrie, soit par désir de plaire à leurs maris, soit par crainte de les offenser.