Il s'étendit trois fois sur l'enfant. Pas comme s'il pensait que cela pouvait apporter de la chaleur ou de la vie à l'enfant ; mais en partie pour exprimer, et en même temps pour augmenter, sa douleur pour la mort de l'enfant, et son désir de sa résurrection ; qu'ainsi ses prières puissent être plus ferventes, et par conséquent plus répandues avec Dieu : et en partie pour donner un signe de ce que Dieu ferait par sa puissance, et ce qu'il fait par sa grâce pour élever les âmes mortes dans le péché à une vie spirituelle. : le Saint-Esprit vient sur eux , et la puissance du Très-Haut les couvre de son ombre , et met la vie en eux. Que l'âme de cet enfant revienne en luiPar cette manière de parler, Elie exprimait sa certitude que l'âme de l'enfant avait quitté son corps, et qu'il était bien mort. Et il demande, non pas qu'il puisse se remettre d'un évanouissement, d'un évanouissement ou d'une transe ; mais réanimé par l'âme défunte, et ressuscité des morts.

C'était certainement une demande grande et des plus extraordinaires, et telle qu'il y a tout lieu de penser qu'elle n'avait jamais été demandée à Dieu auparavant par aucune créature humaine. Certes, il n'avait aucun précédent à plaider pour avoir demandé une telle chose, encore moins connaissait-il un exemple de résurrection d'un mortel ayant eu lieu en réponse aux prières de quelqu'un ou autrement. Néanmoins, il fut encouragé et incité à faire cette demande, en partie par son zèle pour l'honneur de Dieu, qu'il jugeait concerné, et serait éclipsé, si l'enfant de cette veuve restait dans la mort ; en partie par l'expérience qu'il avait de son pouvoir dominant avec Dieu dans la prière ; et en partie par une influence divine, le poussant à désirer la restauration de l'enfant à la vie.

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