De son temps, la terre fut calme dix ans. Il n'y eut pas de guerre avec le royaume d'Israël, qui ne récupéra le coup porté sous le règne dernier depuis longtemps. La victoire d'Abija, qui était due, sous Dieu, à son courage et à sa bravoure, a jeté les bases de la paix d'Asa, qui était la récompense de sa piété et de la réforme qu'il a effectuée. Bien qu'Abijah ait lui-même peu de religion, il a contribué à préparer la voie à une qui en avait beaucoup. Si Abija n'avait pas fait ce qu'il a fait pour calmer le pays, Asa n'aurait pas pu faire ce qu'il a fait pour le réformer.

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