Le Seigneur fit venir sur eux les capitaines de l'armée du roi d'Assyrie. Certains supposent qu'il s'agit ici d'Esar-haddon, le successeur de Sennachérib, roi d'Assyrie, et qu'en raison de l'échec de la famille royale à Babylone, il trouva signifie ramener ce royaume sous son joug ; ou que, par la force des armes, ou par quelque autre moyen, il l'a récupéré de Merodach-Baladan. On dit qu'il la tint treize ans, et que c'est pendant ce temps que Manassé fut emmené et emmené captif à Babylone. D'autres pensent qu'il est plus probable que le roi de Babylone s'appelle ici le roi d'Assyrie, parce qu'il avait ajouté l'Assyrie à son empire, et qu'ayant été informé par ses ambassadeurs des grandes richesses qui étaient dans les trésors d'Ézéchias à Jérusalem, et étant assuré de la dégénérescence de Manassé par la piété de son père et par ce Dieu dont le pouvoir seul rendu Ézéchias redoutable, il pensa que c'était une bonne saison pour envahir le royaume de Manassé, ce que les Juifs disent qu'il fit, dans la vingt-deuxième année de son règne.

Ce qui emmena Manassé parmi les épines Dans quelque bosquet où il pensait s'être caché des Assyriens jusqu'à ce qu'il puisse s'échapper : ou, comme l'hébreu בחוחים, bachochim , peut être traduit, avec des crochets , métaphoriquement parlant ; ou, dans ses forts , c'est-à-dire dans l'un d'eux.

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