Il y avait quatre lépreux à l'entrée de la porte, à savoir de la ville, dont ils étaient fermés en vertu de la loi de Dieu. Soit ils avaient leur demeure près de la porte, soit ils s'en étaient approchés par crainte de l'armée syrienne. Ils se dirent l'un à l'autre, pourquoi restons-nous assis ici jusqu'à ce que nous mourions ? Personne n'a franchi la porte pour les soulager, et ils étaient prêts à périr de faim. S'ils allaient dans la ville, il n'y avait rien à y avoir, ils devaient mourir dans les rues ; s'ils restaient immobiles, il faudrait qu'ils languissent à mort dans leur chaumière : ils se décident donc à passer à l'ennemi et à se jeter sur leur miséricorde ; car la mort semblait inévitable de toute autre manière.

Ils se levèrent donc au crépuscule. Au crépuscule du soir, comme il ressort de 2 Rois 7:9 ; 2 Rois 7:12 . Pour aller au camp des Syriens qu'ils trouvèrent, à leur grande surprise et joie, entièrement désert, aucun homme n'y étant vu ni entendu.

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