Comme Pierre arrivait dans Corneille, qui l'avait attendu, probablement avec quelque impatience, désireux de savoir quelle était cette importante doctrine, qu'un ange lui avait dit qu'il devrait entendre de lui ; l'a rencontré, et est tombé à ses pieds Exprimant ainsi sa révérence pour un, dans un sens si éminent, le messager du Ciel; et l'adora non pas avec un culte divin, mais un simple culte civil : tel qu'on le rendait habituellement aux rois et princes, et à d'autres de haute dignité, en Orient. Ayant cru au seul Dieu vivant et vrai, et abandonné l'idolâtrie des Gentils, il ne pouvait certainement pas offrir un culte divin ou religieux à Pierre : il ne pouvait pas non plus, comme certains l'ont imaginé, imaginer Pierre comme un ange, considérant comment l'ange avait parlé de lui.

Mais sa révérence pour lui en tant que messager divin, ainsi que la coutume qui prévalait dans ces pays, d'exprimer le plus grand respect par la prosternation, pourraient l'inciter à se jeter à ses pieds et à offrir un hommage, que Pierre a sagement et religieusement refusé d'accepter. . Et comme il parlait avec lui, il entra. Ils entrèrent dans la maison en parlant ensemble, probablement de la bonté de Dieu manifestée en les réunissant si heureusement, car ils ne pouvaient que voir et reconnaître Dieu en cela. Et en trouva beaucoup qui se réunissaient plus que Pierre ne s'y attendait, ce qui ajoutait à la fois de la solennité à ce service et offrait une plus grande occasion de faire le bien.

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