Maintenant , après de nombreuses années , &c. Ils m'ont représenté comme une personne profane et sans loi, comme si j'avais jeté le mépris sur la religion, et leur avais fait beaucoup de mal ; mais jusqu'à présent j'ai été loin de faire quoi que ce soit pour nuire aux Juifs, auxquels j'appartiens de naissance, ou d'essayer de profaner le temple, comme ces mes ennemis le prétendent faussement, que j'ai donné de nombreuses preuves publiques et importantes de mon respect particulier. pour le bien de mon pays, et de la vénération que j'ai pour tout ce qui est sacré. En conséquence, après plusieurs années que j'avais passées dans d'autres parties ; Je suis venu apporter l'aumône aux pauvres de ma nation que j'avais collectés pour eux dans les provinces des Gentils où j'avais quelque intérêt ; et offrandesA Dieu, ce que je me proposais de faire en aidant quelques nazaréens à accomplir leur vœu, selon la loi ; sur quoi, au moment même où j'étais ainsi employé ; certains Juifs d'Asie Qui ont soulevé le premier tollé contre moi ; m'a trouvé purifié dans le temple, c'est-à-dire accomplissant les choses que la loi exigeait, et en quoi consistait la purification légale des nazaréens ; ni avec la multitude m'accompagnant ; ni avec le tumulte fait par moi ; la multitude étant de leur propre rassemblement, et le tumulte, s'il y en a, étant fait par eux-mêmes.

De sorte qu'il n'y avait pas de couleur pour l'accusation portée contre lui, mais des preuves suffisantes contre elle. Et il était très déraisonnable et difficile, 1er, de l'accuser d'ennemi de leur nation, quand, après une longue absence de Jérusalem, il vint lui apporter l'aumône, argent qu'il avait recueilli auprès de ses amis pour le soulagement des pauvres à Jérusalem ; et 2° de l'accuser d'avoir profané le temple, lorsqu'il y apporta des offrandes, et qu'il y fut trouvé en train de s'y purifier, selon la loi, et cela d'une manière très calme et ordonnée. Et quant à ce qui a peut-être été suggéré à Félix, qu'il avait amené des Grecs dans le temple contrairement à leur loi, il les met au défi de le prouver. Ces Juifs d'Asie, dit-il, qui étaient la cause de tout le tumulte, de la confusion et de la violence, auraient dû être ici avant toi.Comme étant les seuls témoins dignes des faits, s'il y en avait qui pouvaient justifier qu'ils m'imposent des mains violentes. Ceux-ci, cependant, étaient maintenant absents, probablement parce qu'ils savaient qu'ils ne pourraient pas faire valoir leur accusation contre lui, et étaient conscients de l'avoir blessé par leur accusation ; et sans doute Félix l'a compris.

Quant aux autres Juifs, ils ne pouvaient témoigner que sur le rapport d'autrui, ou donner des preuves par ouï-dire, ce qui ne pouvait être suffisant dans aucune cause ou tribunal. Ou bien que ces mêmes ici disent que Paul est disposé à permettre la validité du témoignage des Juifs présents, au sujet de choses dont ils avaient eux-mêmes été témoins oculaires ou auditifs, à savoir, de ce qui s'était passé dans le conseil lorsque Paul a été amené devant il; s'ils ont trouvé en moi quelque malfaiteur Tout crime commis par moi, ou toute chose faite ou dite, pour laquelle je mérite une punition. Sauf pour cette seule voix Comme s'il avait dit : Qu'ils objectent, s'ils le peuvent, toute autre faute ; que j'ai pleuré, debout parmi eux, Touchant la résurrection des morts, je suis mis en questionCe qui, néanmoins, était la vraie vérité. Et, si mon affirmation est une faute dont je dois souffrir, je le reconnais, et il n'y a pas besoin d'autre preuve. Mais comme c'était un des grands articles de la foi nationale, on ne pouvait lui reprocher ni de le maintenir, ni d'affirmer que Dieu en avait donné une preuve, dans la résurrection de Jésus d'entre les morts.

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