J'étais donc grand en richesses, en puissance et en gloire. Ma sagesse demeurait . Je n'étais pas encore tout à fait séduit par Dieu. Et tout ce que mes yeux désiraient, Tout ce qui était reconnaissant à mes sens, ou mon cœur désirait ; je ne les cachais pas, je ne me refusais rien, du moins, des délices légitimes, mais allais jusqu'au bout d'eux ; ce qui fut l'occasion pour lui de tomber ensuite dans les plaisirs pécheurs. Je n'ai pas retenu mon cœur , &c. Comme mon cœur était passionnément attaché au plaisir, je n'y résistai pas, je ne l'y réprimai pas, mais je fis toutes les dispositions possibles pour le satisfaire.

Car mon cœur se réjouissait d' avoir le réconfort de tous mes travaux, et je n'étais pas empêché d'en jouir pleinement par la maladie ou la guerre, ou toute autre calamité. C'était ma part. Cette jouissance présente d'eux était tout le bénéfice que je pouvais attendre de tous mes travaux. Pour que j'en tire le meilleur parti.

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