Alors je suis revenu, et j'ai considéré que j'y réfléchissais à nouveau plus sérieusement ; toutes les oppressions sous le soleil soit par des princes, des magistrats, ou d'autres personnes puissantes ; et les larmes de ceux qui étaient opprimés Leurs souffrances douloureuses, leurs soupirs et leurs gémissements. Et ils n'avaient pas de consolateur. Aucun ne leur accordait ni pitié ni secours. Car telle était la grandeur et la puissance de leurs oppresseurs, que, comme ils ne pouvaient pas se défendre contre eux, ainsi personne d'autre n'osait exprimer leur compassion envers eux, encore moins plaider pour eux, de peur d'être fait souffrir de la même manière eux-mêmes. .

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