J'ai considéré tous les vivants. La disposition générale des gens du commun dans tous les royaumes, qu'ils sont inconstants et inconstants, las de leurs anciens gouverneurs, et désireux de changements ; avec le deuxième enfant qui se lèvera Qui se lèvera pour régner. Ceci peut être entendu de l'enfant du roi, ou fils et héritier, appelé second par rapport à son père, dont il est le successeur. Certains joignent cette clause à la précédente, ainsi : J'ai considéré tous les vivants qui marchent Ou, qu'ils marchent ; sous le soleil C'est-à-dire sur la terre ; avec le deuxième enfantC'est-à-dire qu'ils le suivent, le favorisent et l'adorent, comme le soleil levant, sur lequel les yeux et les espoirs de la plupart des gens sont fixés. Salomon remarqua probablement cette disposition chez son propre peuple, qui commençait à se lasser de son gouvernement, et commençait à désirer un changement, et à tourner les yeux vers Roboam, son successeur.

Au moins, il se souvenait de la rébellion qui s'était élevée contre son père David en faveur d'Absalom, et aurait peut-être des raisons de penser que le même levain agissait toujours dans son royaume. Le verset est ainsi paraphrasé par l'évêque Patrick : « Telle est l'infélicité des princes, que j'ai vu un roi partir avec rien que le titre nu et l'état extérieur de la royauté ; les cœurs et les affections de tous, nobles, gentry et gens du commun, d'un bout à l'autre du royaume, inclinant vers son fils (ou prochain héritier) qui doit lui succéder ; à qui ils rendent hommage, comme s'il était déjà sur le trône ; mais néglige son vieux père, qui se voit dépouillé de ces honneurs où il mettait son bonheur.

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