Si tu veux revenir, ô Israël, reviens à moi Israël ayant promis la repentance dans la dernière partie du chapitre précédent, ils sont ici dirigés quelle sorte de repentance cela doit être ; qu'il ne doit pas être hypocrite et feint, mais réel et copieux ; non reporté à un autre moment, mais immédiat, sans aucun délai ; les mots n'étant pas mal interprétés, comme ils le sont par beaucoup, Si tu veux revenir, reviens maintenant.Le repentir, s'il est retardé de temps en temps, est rarement mis à exécution ; et c'est pourquoi il ne peut y avoir d'avertissement plus utile que de mettre immédiatement en pratique nos bonnes résolutions. Blaney, qui considère la clause comme étant principalement destinée à les assurer « qu'à leur conversion ils seraient acceptés et reçus à nouveau dans le sein de l'église de Dieu, dont ils avaient auparavant apostasié », la traduit très littéralement, ainsi : « Si tu reviendras, ô Israël, dit l'Éternel, vers moi tu retourneras. Et si tu veux éloigner tes abominations, tes mauvaises pratiques, et surtout tes idolâtries, comme le mot שׁקצים signifie communément : hors de ma vue l' hébreu, מפני, de devant moi : bien que l'œil de Dieu soit partout, et donc, comme cela est sous-entendu, les idoles ne doivent être admises nulle part, que ce soit en public ou en privé, pourtant l'expression se rapporte particulièrement au lieu de sa présence plus immédiate, comme leur terre et le lieu de son culte solennel. .

Alors tu ne retireras pas, tu seras restauré dans ton ancien héritage, et tu seras établi dans la possession paisible de celui-ci. Comme s'il avait dit : Si tu enlèves tes idoles, tu ne seras pas enlevé. L'hébreu, ולא הנוב, peut être correctement rendu, alors tu n'erreras pas , c'est-à-dire, tu ne seras pas un peuple instable, fugitif et vagabond. « Dans la première partie, dit Houbigant, on parle de la conversion de leurs mœurs ; dans ce dernier, la stabilité de leur république.

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