Qu'ils maudissent celui qui maudissent le jour C'est-à-dire leur jour de naissance : quand leurs afflictions les poussent à maudire leur propre jour de naissance, qu'ils se souviennent aussi du mien, et jettent quelques malédictions sur lui ; qui sont prêts à soulever leur deuil Qui sont pleins de douleur, et toujours prêts à verser leurs cris, leurs larmes et leurs plaintes. Un écrivain tardif paraphrase ce verset comme suit : « Je me soucie si peu de faire célébrer ma nuit de naissance par des démonstrations publiques de joie, par une bénédiction solennelle ou un remerciement, que je préférerais choisir d'embaucher un groupe de ces hommes. , dont l'affaire est de maudire les jours qui sont estimés de mauvais augure, et qui sont toujours prêts à de telles occasions.

Qu'ils soient produits, et qu'ils appliquent toute leur habileté à élever leurs voix lugubres au plus haut point ; et qu'ils étudient pour trouver des expressions appropriées pour le charger des imprécations les plus hautes et les plus lourdes. Si le lecteur consulte Poole et Dodd sur le passage, il trouvera quelques raisons avancées qui vont justifier cet exposé ; mais pour lequel nous n'avons pas de place ici.

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