Car Or, comme כי, chi , devrait être plutôt rendu, néanmoins Dieu parle à savoir, aux hommes, par voie d'instruction ou d'exhortation, comme il ressort des versets suivants. Bien qu'il ne rende pas compte aux hommes de ses affaires, il fait pour eux ce qui est bien meilleur, et bien plus nécessaire et important : bien qu'il soit si élevé, il daigne pourtant les enseigner et les avertir de diverses manières, afin qu'il puisse les retirer de ces cours qui sont malfaisants et pécheurs, et les amener à une humble dépendance de lui-même. Une fois oui deux foisEncore et encore, ou souvent. Lorsqu'une seule fois son discours n'éveille pas les hommes, Dieu se plaît à leur donner un autre avertissement : bien qu'il ne satisfasse pas leur curiosité, en exposant à leur vue ses jugements secrets, il leur fera néanmoins connaître leur devoir et leur intérêt, dans la mesure où est approprié ; ce qu'il exige d'eux et ce qu'ils peuvent attendre de lui.

Pourtant, l'homme ne s'en aperçoit pas, il ne le considère pas, il ne le discerne ni ne le comprend ; il ne sait pas que c'est la voix de Dieu, et il ne reçoit pas non plus les choses révélées, car elles sont pour lui une folie : il se bouche les oreilles, se tient dans sa propre lumière, rejette le conseil de Dieu contre lui-même, plus sage, non, pas pour les préceptes de la sagesse elle-même. Dieu nous parle par conscience, par providence et par ministres, de tout ce qu'Elihu traite ici en général, pour montrer à Job que Dieu lui disait maintenant ce qu'il pensait, et s'efforçait de lui faire du bien. Il montre d'abord comment Dieu admoneste les hommes par leur propre conscience.

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