Commentaire de Joseph Benson
Lévitique 25:10
La cinquantième année L'année du jubilé n'était pas la quarante-neuvième année, comme certains savants l'ont pensé à tort, mais précisément la cinquantième. L'ancien sabbat hebdomadaire est appelé le septième jour , parce qu'il en était vraiment ainsi, étant le suivant après les six jours de la semaine, et distinct d'eux tous : et l'année de la libération est appelée la septième année , ( Lévitique 25:4 ,) comme suivant immédiatement les six années , ( Lévitique 25:3 ,) et distinct d'eux tous. Et de la même manière le jubilé est appelé la cinquantième année , parce qu'il vient après sept fois sept ou quarante-neuf ans , ( Lévitique 25:8,) et est distinct de tous. À tous les habitants, comprenez tels qu'étaient les Israélites ; principalement à tous les serviteurs, même à ceux qui ne voulaient pas et ne sont pas sortis à la septième année, et aux pauvres, qui maintenant ont été acquittés de toutes leurs dettes et rendus à leurs biens, qui avaient été vendus ou autrement aliénés d'eux .
Cette loi n'était pas du tout injuste, parce que tous les acheteurs et vendeurs avaient un œil sur cette condition dans leurs marchés ; mais il était opportun à bien des égards, comme, 1er, de leur rappeler que Dieu seul était le Seigneur et propriétaire à la fois d'eux et de leurs terres, et qu'ils n'étaient que ses locataires ; un point qu'ils étaient susceptibles d'oublier. 2d, afin que les héritages, les familles et les tribus soient conservés entiers et clairs jusqu'à la venue du Messie, qui devait être connu par d'autres choses, ainsi par la tribu et la famille dont il devait sortir. Et cela a donc été fait par la providence singulière de Dieu jusqu'à ce que le Seigneur Jésus vienne. Depuis quel temps ces personnages sont misérablement confondus : ce qui n'est pas un petit argument que le Messie est venu. 3° Pour mettre des bornes à la fois à l'avarice insatiable des uns et à la folle prodigalité des autres,
Sa famille D'où il était parti, étant vendu à une autre famille soit par lui-même, soit par son père.