Éphraïm dira , &c. Les mots, diront , ne sont pas en hébreu. La clause est donc traduite ainsi par l'évêque Horsley, Ephraim ! Qu'ai-je encore à faire avec les idoles , " une exaltation ", dit-il, " de Jéhovah sur les idoles. Éphraïm ! même lui m'est rendu. Je n'ai plus de concours à faire avec les idoles. Ils sont complètement renversés. Ma seule divinité est confessée. Je l'ai entendu et observé. C'est moi, non ses idoles, qui ai entendu ses supplications et veillé sur lui pour le préserver. je suis comme un sapin vertSi celles-ci sont comprises comme les paroles de Dieu, le sens est, c'est moi, qui existe toujours, et j'ai le pouvoir de donner des bénédictions à mon peuple à tout moment ; comme le sapin est toujours vert et florissant, et offre son abri, non seulement en été, mais aussi en hiver, quand tous les autres arbres sont dépouillés de leurs feuilles et ne peuvent se permettre aucun abri.

En d'autres termes, De même qu'un voyageur fatigué trouve repos et sécurité sous un arbre vert, épais et florissant, de même il y a sécurité et rafraîchissement sous la protection de Jéhovah. Mais certains les comprennent comme les paroles d'Éphraïm, ou Israël, reconnaissant qu'il est dans une condition florissante ; puis Dieu lui rappelle, dans les mots suivants, que sa fécondité et sa prospérité sont entièrement dues à la bénédiction divine. Ainsi, l'Église de Dieu et tous ses membres, quelle que soit leur abondance en fruits de justice et en confort qui s'y rattache, doivent confesser que c'est de Christ que se trouve leur fruit, la vraie et vivante vigne ; et ils ne doivent pas manquer de lui en donner la gloire, se souvenant que sans lui ils ne peuvent rien faireexcellent ou louable; rien qui favorisera finalement la gloire de Dieu, ou leur propre salut.

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