Mon fils, mange du miel Ceci n'est pas un commandement, mais une concession, et n'est exprimé ici que pour illustrer le verset suivant. N'allégez pas, et encore moins n'écœurez pas de tels préceptes ; mais, comme le miel est le plus agréable à ton palais, surtout cette partie pure qui tombe d'elle-même immédiatement du rayon de miel, que cette connaissance soit à ton esprit, qui tend à te rendre sage et vertueux. Alors il y aura une récompense Comme rien ne t'est plus nécessaire, rien de plus délicieux ; ainsi, s'il est sérieusement étudié et bien digéré, il récompensera abondamment vos peines, même dans le monde présent, mais plus spécialement dans l'autre.

Il est bien connu, dit l'évêque Patrick, à quel point le miel était très estimé chez les anciens, pour la nourriture, la boisson, la médecine, la conservation des cadavres et particulièrement pour les nourrissons. Ésaïe 7:15 . Tout cela s'applique ici avec justesse à la sagesse, dont l'esprit tire la plus grande satisfaction, et qui doit donc être notre alimentation quotidienne, notre plus doux rafraîchissement.

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