Et David a dit : qu'ai-je fait ? &c.— Le Dr Chandler observe que "cette réponse était prudente, et telle que devinrent les circonstances dans lesquelles il se trouvait alors; mais ne promettait rien, et c'était seulement en général, qu'il n'avait jamais donné à Achish aucune raison de soupçonner sa gratitude et Il ne dit rien sur le combat contre Saül et l'armée hébraïque, mais contre les ennemis du roi.Contre les ennemis du roi, sans aucun doute, il aurait combattu, où il aurait pu le faire conformément à son honneur et à son devoir ; là où il ne le pouvait pas, quel que soit le sens qu'Akish pouvait donner aux paroles de David, David aurait refusé de les combattre. En somme, il est certain qu'il n'y a pas la moindre indication, dans aucune de ses paroles, qu'il tournerait impieusement ses armes contre son roi et sa patrie, ce que ni sa conscience ni son intérêt ne lui permettraient de faire ; et il est certain que s'il avait pu maintenir sa fidélité à Akish, sans prêter son concours à la destruction de sa nation, il l'aurait fait." Dr.

il n'avait plus le choix. Il devait allégeance à Achish ; car la protection exige l'allégeance : mais il ne devait aucune à Saül ; et il ne fait aucun doute qu'il était déterminé à payer sa dette ; et c'est pourquoi je ne peux m'empêcher de créditer jusqu'ici le compte que Josèphe nous donne de cette affaire, qu'il a promis son aide à Akish, et l'a assuré qu'il saisirait cette occasion pour récompenser sa bonté du mieux qu'il pourrait.

Qu'il le lui ait promis à contrecœur, je n'en doute pas ; et je ne puis en avoir qu'il lui ait promis fidèlement. Voir Psaume 7 . L'homme qui pouvait sauver Saül ne pouvait pas trahir Akish." Mais, quels que fussent ses desseins, il plut à Dieu, très providentiellement, de le délivrer de ce grand dilemme.

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