O mon fils Absalom ! &c.- Il ne peut certainement pas être produit d'un écrivain un exemple plus frappant du vrai pathétique que le présent. Voir la 22e préélection du Dr Lowth. Il est cependant extrêmement difficile de concilier ce degré de tristesse avec la piété et la résignation habituelles de David. L'ordre du roi d'épargner Absalom, était en effet un exemple extraordinaire de miséricorde, dépassé seulement par LUI, qui, mourant, a prié pour ses meurtriers ; pourtant il doit être expliqué de son affection paternelle. Mais il y a quelque chose d'étonnant dans cet excès de douleur pour un tel réprouvé ; et j'avoue, c'est à moi, dit le Dr.

Delaney, totalement irresponsable, de tout autre principe que le reflet triste et choquant de sa mort avec tous ses péchés sur la tête, et tombé rapidement à la perdition. L'affection des parents est sans doute extrêmement forte. Les péchés, voire l'ingratitude des enfants ne peuvent l'enraciner dans leur cœur ; et ceux qui craignent Dieu, sont alors très raisonnablement inconsolables, quand leurs enfants sont engagés dans un cours de péché, et ils les voient mourir dans un état de condamnation.

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