Tu nourriras mon peuple—L'évêque Patrick observe que c'est la première fois que nous rencontrons un dirigeant ou un gouverneur d'un peuple caractérisé sous l'idée d'un berger, bien qu'il ait été par la suite très familier à la fois avec les Grecs et les Romains ; et je ne peux que le trouver remarquable, que le premier homme ainsi caractérisé, était d'abord, en fait, un berger : et quand nous le trouvons, après son avancement au trône, encore caractérisé par Dieu lui-même sous la même idée ; qu'est-ce qui peut être une inférence plus claire, que que Dieu l'élevant pour être un roi ne faisait que l'exalter à un poste plus noble de la même nature que le premier ? Comme c'est un beau document pour les princes, qu'ils ne sont pas, dans l'intention de la Providence, les tyrans, mais les gardiens de leur peuple ; que leur affaire est la conservation et le bien-être du troupeau, du devoir qu'ils ont envers le grand Seigneur et propriétaire des deux ! Et comme ce document nous est pleinement confirmé, quand nous trouvons de mauvais princes exposés dans le style prophétique, sous le caractère de rugissementdes lions, des ours affamés et des loups dévorants ! C'était une noble maxime de Cyrus, que tout homme, aspirant au gouvernement des autres, devait avoir soin d'être un homme meilleur que ceux qu'il gouvernait.

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