Hommes d'Israël et vous qui craignez Dieu, ce discours semble principalement destiné à illustrer l'économie divine en ouvrant graduellement l'Évangile et en préparant les Juifs par des miséricordes temporelles à d'autres d'une nature encore plus importante. L'apôtre, en conséquence, a eu une très bonne occasion de montrer sa connaissance de leurs écritures, ce qui est bien connu qu'ils estimaient comme la partie la plus élevée de la littérature.

L'expression, vous qui craignez Dieu, est ambiguë et conviendrait mieux à ceux qui, en embrassant la religion juive, avaient conclu une alliance avec le vrai Dieu ; pourtant ainsi, pour n'exclure aucun autre, chez qui une révérence filiale pour l'Être divin était un principe directeur.

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