J'ai comparé la fille de Sion. Il semble qu'il n'y ait rien dans la comparaison de ce verset qui puisse aller du tout avec la continuation de celui-ci dans le troisième ; et donc je ne peux qu'approuver l'interprétation qu'en donnent Houbigant et plusieurs autres ; J'ai comparé la fille de Sion à d'agréables pâturages, dessèchent les bergers avec les troupeaux venus paître, c'est-à-dire « les Chaldéens avec leur armée, qui devaient paître et dévorer Jérusalem ». Houbigant lit la dernière partie du verset suivant : Ils ont dressé leurs tentes près d'elle, et ils en pâtissent autour, chacun à sa place.

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