Job 42:1
_JOB S'HUMILIE DEVANT DIEU QUI, PRÉFÉRANT LA CAUSE DE JOB, L'ACCEPTE ET COMMANDE À SES AMIS DE SE SOUMETTRE. IL BÉNIT LA DERNIÈRE FIN DE JOB, DOUBLANT TOUTES SES FORTUNES._ _Avant Jésus-Christ 1645._... [ Continuer la lecture ]
_JOB S'HUMILIE DEVANT DIEU QUI, PRÉFÉRANT LA CAUSE DE JOB, L'ACCEPTE ET COMMANDE À SES AMIS DE SE SOUMETTRE. IL BÉNIT LA DERNIÈRE FIN DE JOB, DOUBLANT TOUTES SES FORTUNES._ _Avant Jésus-Christ 1645._... [ Continuer la lecture ]
JE SAIS QUE TU PEUX TOUT, _je sais que tu es capable de tout, et que la sagesse ne peut être atteinte sans toi. _Bruyère. _Et qu'il n'y a pas de dessein que tu ne puisses accomplir. _Hobigant.... [ Continuer la lecture ]
QUI EST-CE QUI CACHE DES CONSEILS, ETC. — _Qui est-ce qui prétend dévoiler la sagesse qui est incompréhensible ? Certes, j'ai dit ce que je ne comprenais pas ; merveilles hors de ma portée, que je ne pouvais pas connaître. _Bruyère. Le souvenir de Job dans ce verset et les deux suivants est d'une be... [ Continuer la lecture ]
J'AI ENTENDU PARLER DE TOI, ETC. — Il est clair qu'il s'agit ici du même privilège dont Job n'avait jamais joui auparavant, et qu'il appelle une vue de Dieu. Il avait entendu parler de lui par l' _ouïe de l'oreille,_ ou la tradition délivrée par ses ancêtres : mais il avait maintenant une perception... [ Continuer la lecture ]
C'EST POURQUOI JE ME DÉTESTE. _C'est pourquoi je suis prêt à tomber dans la dissolution. _Bruyère. Voir la note au chap. Job 3:24 . En complément de quoi, nous ajoutons ici, que le paraphrase chaldéen avait un tel sentiment de la grandeur de l'affliction de Job, à l'égard de la perte de ses enfants,... [ Continuer la lecture ]
CAR VOUS N'AVEZ PAS PARLÉ DE MOI, ETC. — M. Peters a prouvé, au-delà de toute contradiction, que ceci est correctement traduit, _vous n'avez pas dit de moi ce qui est juste. _Voir aussi Job 42:8 dans lequel il y a une répétition de la même déclaration en termes exprès par Dieu lui-même, qu'Éliphaz e... [ Continuer la lecture ]
LE SEIGNEUR RETOURNA LA CAPTIVITÉ DE JOB — Cette expression de _retourner,_ ou de _faire retourner la captivité,_ semble avoir été négligée, du moins pas complètement prise en compte par la plupart des commentateurs ; certains, cependant, ont vu toute la force de l'expression. La restitution était p... [ Continuer la lecture ]
ALORS VINRENT À LUI TOUS SES FRÈRES, ETC. — Job étant rendu à sa santé et à ses possessions antérieures, l'auteur nous présente une vue frappante de l'amitié humaine. Ses _frères,_ qui au temps de son affliction se tenaient à distance de lui ; ses parents, qui ont cessé de le connaître ; ses amis fa... [ Continuer la lecture ]
IL APPELA LE NOM DE LA PREMIÈRE JEMIMA — Job, étant rendu à sa famille et à ses amis, est ensuite béni avec une nombreuse descendance, _sept fils et trois filles. _Des premiers rien de remarquable n'est enregistré ; mais les noms des filles sont conservés, et on dit qu'elles étaient les plus belles... [ Continuer la lecture ]
DANS TOUT LE PAYS, AUCUNE FEMME N'A ÉTÉ TROUVÉE AUSSI BELLE - L' évêque Warburton, sur son plan allégorique, suppose que, comme la femme de Job devait représenter les épouses idolâtres, de même les filles dans l'allégorie doivent représenter les filles d'Israël ; et à cette fin sont décrites comme d... [ Continuer la lecture ]
APRÈS CELA, JOB VÉCUT CENT QUARANTE ANS—M. Le Clerc a soutenu, comme argument que ce livre est parabolique, que Job, selon ce récit, doit avoir vécu plus de deux cents ans, et que cette durée de vie ne conviendra à aucun temps assigné à l'existence de Job. Si, avec Grotius, on dit qu'il vécut pendan... [ Continuer la lecture ]