Commentaire de Coke sur la Sainte Bible
Lévitique 5:6
Son offrande pour le délit - Le mot original אשׁם asham, infraction, s'étend plus loin que חטא cheit, péché, même aux péchés contre la connaissance : mais la différence précise entre eux n'est pas facile à établir : nous nous référons à Outram de Sacrificis, comme auparavant. Le Dr Beaumont observe que « ces offrandes pour le délit étaient pour des péchés de moindre importance, comme l'omission de certains devoirs, et le non-respect des lavages et purifications légaux, etc.
tandis que les offrandes pour le péché au ch. 4 étaient pour de plus grandes offenses, en faisant des choses interdites de Dieu : et, par conséquent, ces oblations pour des offenses de ce genre étaient Lévitique 5:11 , si le pécheur était pauvre, (voir Lévitique 5:11 .) qui, dans le premier, étaient jamais diminué; voir ch. 4"
RÉFLEXIONS.— Trois cas d'intrusion sont mentionnés ; 1. Dissimuler la vérité, lorsqu'elle est adjugée par les juges. Dans tous les cas de serment, il faut dire toute la vérité, et rien que la vérité : le cacher, c'est aussi criminel que d'y ajouter. 2. contracter l'impureté cérémonielle, et ne pas se laver selon la loi avant d'arriver au tabernacle. Quand il s'agissait de leur connaissance, ils devaient confesser leur péché et apporter leur offrande.
Noter; Lorsque l'esprit de Dieu éveille la conscience, nous commençons à nous voir coupables, là où nous n'avons jamais soupçonné de mal. 3. Jurer imprudemment, soit pour faire ce qui est illégal ou impraticable. Bien qu'un vœu téméraire puisse être mieux brisé que tenu, pourtant, comme une épée à deux tranchants, il coupe dans les deux sens. Aucun membre n'a besoin d'un gouvernement plus strict que la langue.
Une offrande dans ces cas doit être apportée, accompagnée d'une humble et particulière confession du péché. Les vrais pénitents ne s'occupent jamais seulement de reconnaissances générales, mais d'une énumération distincte et particulière de leurs péchés. Alors le prêtre fit l'expiation, et le péché fut pardonné. Bien que notre repentir ne soit pas la cause de notre acceptation, mais le sang de Christ seul, ils sont pourtant inséparables : la vraie foi produit toujours la vraie pénitence.