Qui est ma mère ? &c.— Supposer que Notre-Seigneur a ici l'intention de faire quelque offense à sa mère, serait bien absurde. Il saisit seulement l'occasion d'exprimer son affection à ses disciples obéissants d'une manière particulièrement attachante, qui ne pouvait que leur être d'un très grand réconfort, et serait à Susanna, Joanna, Marie-Madeleine et les autres femmes pieuses qui étaient assises près de lui, ( Luc 8:2 .

) un riche équivalent pour toutes les fatigues et dépenses que leur zèle pour leur Maître céleste occasionnait. Et comme cela semble avoir été vers le début de leur progrès, il est observable que notre Seigneur semble avoir été particulièrement soucieux de leur encouragement. Voir Luc 11:27 et Doddridge.

Continue après la publicité
Continue après la publicité