Les ânes sauvages étanchent leur soif. On remarque particulièrement des ânes que, bien qu'ils soient des créatures ternes et stupides, la Providence leur enseigne cependant le chemin des eaux dans les déserts secs et sablonneux ; et qu'il n'y a pas de meilleur guide à suivre pour le voyageur assoiffé que d'en observer les troupeaux qui descendent vers les ruisseaux.

La description est ici très pittoresque, de belles sources au milieu de vallées ombragées, fréquentées par une variété de bêtes et d'oiseaux, attirés là par la douceur du lieu, et lui donnant une sorte de vie et de société. Voir Psaume 104:12 .

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