Qui pose les poutres de ses chambres — Il tapisse ses chambres avec des eaux : c'est-à-dire « Les nuages ​​font le plancher de ses cieux. Boue. Par ces chambres, on entend, quoique non suprêmes, les régions supérieures ou moyennes de l'air. Il est ici décrit comme l'étage supérieur d'une maison, solidement tendu de poutres ; (en tenant compte de la terre et de la région de l'air qui l'entoure, comme l'étage le plus bas :) et on dit ici poétiquement que ce sol est posé dans les eaux ; c'est à diredans les nuages ​​aqueux. Or, tandis que dans la construction d'un étage supérieur, il doit y avoir des murs ou des piliers pour en supporter le poids, et sur lesquels les poutres doivent être posées ; Dieu ici, par sa propre puissance miraculeuse, a posé, et a depuis soutenu, ces chambres hautes ; il n'y avait que des eaux pour les soutenir ; un corps fluide instable, incapable de se soutenir.

C'est donc une autre œuvre de sa puissance divine ; que les eaux, qui sont si fluides et incapables de se contenir dans leurs propres limites, devraient encore pendre au milieu de l'air, et être comme des murs ou des piliers pour soutenir cette région de l'air, qui est elle-même un autre corps fluide. M. Hervey observe très bien, que dans les mots, Qui marche sur les ailes du vent, il y a une élégance inégalée ; il pas Flieth -il court, mais il- walketh; et cela sur les ailes mêmes du vent ; surl'élément le plus impétueux, élevé dans la plus grande rage, et emportant avec une rapidité incroyable. Nous ne pouvons pas avoir une idée plus sublime de la Divinité ; marchant sereinement sur un élément d'une rapidité inconcevable, et, nous semble-t-il, d'une impétuosité incontrôlable !

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