Je dis à nouveau, laissez personne ne pense que moi un imbécile, ... pour se prêquer, ou parler dans ses propres recommandations; qu'il a été obligé de faire, à la vindation de son propre personnage, contre les faux apôtres, pour l'amour de l'Évangile qu'il prêchait et pour l'avantage et le bien-être des Corinthiens; qu'ils ne soient peut-être pas imposés et emportés avec les insinuations de ces hommes trompeurs; C'est pourquoi il les désire une fois de plus, que s'il doit être comptabilisé un imbécile pour parler en son propre nom;

Sinon, dit-il, s'ils ne pouvaient pas être persuadés, il a agi une partie sage, mais doit être considérée comme un imbécile, pour ce qu'il a dit de lui-même,.

Pourtant, comme un imbécile me reçois; ou "souffrez-moi" ou portez-moi avec ma folie: il désire qu'il aurait pu et utilise la liberté que des imbéciles leur ont généralement accordés, de parler la vérité, et tout ce qu'ils savent, ce qui n'est pas toujours autorisé à des hommes sages :

que je peux me vanter un peu; dans quelques cas, et pour un petit espace de temps; Il suggère que les faux apôtres se vantent une grande partie d'eux-mêmes et ils ont porté avec eux et l'avaient fait pour un bon moment; Et par conséquent, il n'était donc pas une demande déraisonnable qu'il a faite, qu'ils le souffriraient également de se vanter un peu, surtout car il y avait une nécessité aussi absolue pour cela.

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