Commentaire Biblique de John Gill
Apocalypse 16:9
Et les hommes ont été brûlés avec une grande chaleur, ... brûlé de colère contre les disciples du Christ; ont été remplis d'envie au succès de son évangile et de fureur et de folie à l'état ruineux de l'État antichristian, être privé de sa tête et des directeurs en chef:
et blasphémé le nom de Dieu, qui a coupé sur ces plaies; Les fléaux ou les jugements sont de Dieu, quand et où ils viennent; ils sont envoyés et infligés par lui, et il peut les atténuer ou les augmenter, continuer ou les supprimer, comme il veut; Et celles-ci, à moins que sanctifié, ne réformeront pas les hommes, mais les durcira et les empêcher de blasphémer l'auteur. Et ce blasphème peut soit respecter la nature et les perfections de Dieu, le facturer avec des inégalités dans ses voies, et avec une injustice et une infidélité; ou l'Évangile, et les vérités de celui-ci, qui déclarent sa gloire et sa grandeur; et qui aura maintenant une propagation générale, à la grande mortification et à la grande confusion des adeptes de Antéchrist:
et ils se sont repentis de ne pas lui donner gloire; C'est-à-dire qu'ils ne se sont pas repents de leurs œuvres d'actes méchants, leurs idées d'idées, leurs meurtres, leurs sorcelleries, leurs fornications et leurs vols, comme dans Apocalypse 9:20 afin de leur posséder et de les confesser, ce qui est, le sens de donner gloire à Dieu dans la repentance; Voir Josué 7:19. Cela montre que la repentance n'est pas du pouvoir de l'homme, mais dans le don de la grâce de Dieu; Pour cependant, il peut donner de la place, mais s'il ne donne pas la grâce de se repentir, aucun homme ne se repentira; aucun moyen d'eux-mêmes ne le produit; Comme le ministère le plus puissant et le plus réveil, comme le ministère de Jean-Baptiste, et du Christ, et des prédicateurs de l'Évangile qui sera à cette époque, cette flacon se réfère, ni la plus grande merci et les faveurs, donc pas les jugements les plus sévères ; Voir Amos 6:6. L'événement de ce flacon, ou de la peste de celui-ci, est appliqué, par M. Daubuz, aux guerres entre les empereurs et les papes, et entre les Guelphs et les Gibelines.