Commentaire Biblique de John Gill
Ésaïe 52:10
Le Seigneur a fait nu son bras sacré aux yeux de toutes les nations, ... a révélé son évangile, qui est un système de doctrines saintes et est le pouvoir de Dieu au salut, ouvertement, à la vue de tous les hommes, et lui étant donné qu'un général se répandit dans tout le monde; Et avec elle a exercé son pouvoir tout-puissant, dans la merveilleuse conversion de multitudes d'âmes partout dans lesquelles sa sainteté, ainsi que son pouvoir, est affichée: sinon le Christ est ici signifiait, qui est le pouvoir de Dieu; par qui il a fait le monde et les défends; par qui il a racheté son peuple et les sauva; et par qui il garde et les préserve; et par qui il les élever des morts au dernier jour; et qui est saint dans sa nature et, dans ses œuvres: ce bras de son a été fait nu ou révélé à son incarnation; est évidemment vu dans sa parole et ses ordonnances; Et sera plus clairement révélé dans ce dernier jour, comme il se manifestera très pleinement en personne au dernier jour, même aux yeux du monde entier. L'allusion concerne les militaires se préparant à bataille, en particulier dans les pays de l'Est, où ils portaient des vêtements lâches et longs, qu'ils sont rentrés sur leurs bras, qu'ils pourraient être plus rapides dedans, et donc dans tout autre service. Scanderbeg combattre les Turcs avec son bras nu, comme l'auteur de sa vie observe.
Et toutes les extrémités de la terre verront le salut de notre Dieu; Le salut que Christ, Dieu manifeste dans la chair, a choisi: le peuple de Dieu, dans les différentes régions du monde, doit voir leur besoin de ce salut; la convenabilité pour eux; la nécessité d'aller au Christ pour cela; leur intérêt pour cela; et doit participer aux bénédictions de celui-ci: ou Christ lui-même est signifiée, le Sauveur de Dieu fournissant, envoie et donner; dont les multitudes, dans les différentes régions du monde, ont une vue spirituelle, par la foi, dans la dernière journée; Et tout aura une vue corporelle de lui, lorsqu'il vient en personne ou apparaît une seconde fois, sans pécher au salut.