Commentaire Biblique de John Gill
Exode 7:15
Donne-y un Pharaon le matin, ... le lendemain matin, une fois dans laquelle l'esprit est le plus composé et le plus sédatif, et s'adapte à ce qui peut être suggéré:
lo, il sort à l'eau; le Nil de la rivière, soit à la promenade de sa matinée, et se rafraîchir à l'eau, comme le targum de Jérusalem; Ou d'observer les divinations sur l'eau, comme un magicien, comme le tags de Jonathan. Donc, dans le Talmud D, il est dit que le pharaon à la journée de Moïse était un magicien. Ou plutôt, comme Aben Ezra pense qu'il est une coutume des rois d'Égypte à ce jour, de sortir dans les mois de Tammuz et d'AB, à savoir juin et juillet, lorsque la rivière augmente, à observer combien de diplômes Il a monté, par lequel la fécondité de la saison qui en découle a été jugée. Amos 8:8 Il est allé adorer le soleil levant, ou le Nil, pour payer ses dévotions du matin: pour non seulement Jarchi, et d'autres écrivains juifs, disent que c'était leur chef Dieu, mais Plutarque E affirme également que rien n'était aussi honoré des Égyptiens comme le Nil; et Theodoret sur cet endroit et Athanasius F ailleurs dit qu'ils l'ont considéré comme un dieu et l'adoraient comme tel; Et il a été habituellement avec d'autres pays d'adorer des rivières, comme Aelianus G rapporte:
et tu resteras au bord de la rivière contre il vient; Au bord du bord du Nil, afin de le rencontrer:
Et la tige qui a été tournée vers un serpent shalt tu prends à ta main; En tant que terreur à Pharaon, sur la vue dont il pourrait être mis à l'esprit de ce qui avait été fait et par lequel il pourrait craindre d'autres merveilles seraient forcées; Par ceci, il apparaît que, après que la tige ait été transformée en un serpent, elle devint une tige à nouveau, comme il l'a fait à Horeb, Exode 4:4. Moïse ayant un préavis de tout cela, montre la prescription de Dieu et sa certaine connaissance des événements éventuels futurs.
d t. bab. MOED. Katon, fol. 18. 1. E de lside Osir. Vide Philo de Vita Mose, l. 1. p. 617. f Contr. Gentil p. 20. de Incarnatione, p. 73. G var. Hist. l. 2. c. 33.