Car il a dit, ne commettez pas d'adultère, ... Le même conseil d'administration, qui n'est qu'un, et c'est Dieu, qui a donné le septième commandement et interdit l'adultère,.

dit aussi, ne tuez pas; Livré le sixième commandement, qui interdit le meurtre.

Maintenant, si tu ne valte pas d'adultère; ne casse pas la septième commande;

Pourtant, si tu tues, enfreignez la sixième commande,.

Tu deviens un transgresseur de la loi; PAS de ce précepte particulier de la loi, la septième commandement, au contraire est supposé auparavant, mais uniquement à la sixième; Et pourtant, ce faisant, un homme devient une violatrice de toute la loi; car la loi n'est qu'un, bien qu'il soit composé de divers préceptes; et la violation d'un précepte, ainsi que d'une autre, est la violation de la loi: et, outre, il n'ya qu'un législateur, qui a enjoint un commandement, ainsi qu'un autre, et dont le pouvoir législatif et l'autorité sont méprisés et piétinés sur la violation d'une commande, comme d'une autre. C'est l'argument de l'apôtre et le mode de raisonnement, prouvant l'affirmation susmentionnée, que celui qui brise la loi dans un cas particulier est coupable de la violation de toute la loi.

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