Commentaire Biblique de John Gill
Romains 14:3
Laissez-le ne pas lui manger, le mépriser qui mange non, ... tel qui avait un plus grand degré d'évangélisation et de connaissances, et faisait usage de leur liberté chrétienne à manger une sorte de nourriture, ne pas mépriser comme ils étaient aptes faire, comme l'abrégée de celle-ci en raison de la loi cérémonielle, aussi faible, ignorante; personnes superstitieuses et bigrotées; ou ne devaient pas les mettre à ne rien faire, ni ne rien faire, car le mot signifie que la paix et leur confort ne concernent pas; Mais, d'autre part, devaient les considérer comme des frères en Christ, bien que faibles; Et comme ayant une oeuvre de Dieu sur leur âme, et donc de faire attention à la manière dont ils les ont fait, ont détruit leur paix ou ont été schlingblocks dans leur chemin:
et laissez-le lui qui ne mit pas, le juge qui mit à manger: tel qui pensait que ce n'est pas leur devoir de manger quoi que ce soit, mais pour s'abstenir d'utiliser certaines choses adressées à la loi, n'était pas de censurer et de condamner, comme ils étaient susceptibles de faire, ceux qui ont utilisé leur liberté dans ces choses, comme des personnes profanes et des transgresseurs de la loi de Dieu; mais laissez-les au dernier jugement et juste, lorsque tout le monde doit être responsable devant Dieu pour les différentes actions de la vie: la raison utilisée pour appliquer ces avis sur les deux parties est,.
Pour Dieu, Hath lui a reçu: qui respecte-le à la fois qu'il mange, et lui qui mit de ne pas, lui qui est méprisé et qu'il est jugé; et est une raison pour laquelle on ne devrait pas mépriser, ni l'autre juge, parce que Dieu avait reçu à la fois l'un et l'autre dans l'amour et l'affection de son cœur, dans l'alliance de Grace et dans sa famille par adoption: ils ont été reçus par Christ , venir à lui comme des pécheurs, selon la volonté de Dieu; De quel sera-t-il également, qu'ils devraient être reçus dans la bourse d'église, comme étant plus étrangers et étrangers, mais d'autres citoyens avec les saints et du ménage de Dieu; Et Dieu les avait également reçus dans son service et ils étaient tenus de le servir, ainsi que d'être sauvés par lui; et le servait de manière acceptable avec la respect et la peur pieuse, dans la justice et la sainteté; Et ceci est plutôt à prendre au sens de ce passage, à cause de ce qui suit.