Car si, par (y) grâce, je participe, pourquoi est-ce qu'on me dit du mal pour ce pour quoi je rends grâce ?

(y) Si, par la grâce de Dieu, je peux manger telle ou telle viande, pourquoi devrais-je, par ma faute, rejeter ce bienfait de Dieu sur mon blâme ?

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