(2) En ce qui concerne donc la consommation de ces choses qui sont offertes en sacrifice aux (d) idoles, nous savons qu'une idole [n'est] (e) rien dans le monde, et qu'il n'y a pas d'autre Dieu qu'un.

(2) L'application de cette réponse aux choses offertes aux idoles : J'accorde, dit-il, qu'une idole est en effet une vaine imagination, et qu'il n'y a qu'un seul Dieu et Seigneur, et donc que la nourriture ne peut être rendue ni sainte ni profane. par l'idole. Mais il ne s'ensuit pas qu'un homme puisse, sans égard à ce qu'ils sont, utiliser ces aliments comme n'importe quel autre.

(d) Le mot "idole" à cet endroit est pris pour une image qui est faite pour représenter une divinité, afin qu'un culte puisse lui être rendu : d'où le mot "idolâtrie", c'est-à-dire "service d'image" .

(e) Est un rêve vain.

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