Alors parla la femme dont l'enfant vivant [était] au roi, car ses entrailles se languissaient de son fils, et elle dit : mon seigneur, donne-lui l'enfant vivant, et (n) ne le tue en aucun cas. Mais l'autre dit : Que ce ne soit ni le mien ni le tien, [mais] divise [le].

(n) Son affection maternelle apparaît en ce qu'elle préfère endurer la rigueur de la loi que de voir son enfant cruellement tué.

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