Mais dans chaque nation celui qui (o) le craint et pratique la justice, est accepté avec lui.

(o) Par la "crainte de Dieu", les Hébreux entendaient tout le service de Dieu, par lequel nous percevons que Corneille n'était pas dépourvu de foi, pas plus qu'ils ne l'étaient ceux qui vivaient avant le temps de Christ : et donc ils traitent mal ceux qui déduisent des mérites œuvres et le libre arbitre de ce passage.

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