(8) Et je vis une de ses têtes comme blessée à mort ; et sa blessure mortelle fut guérie, et tout le monde s'interrogea sur la bête.

(8) C'est l'autre endroit qui se rapporte à la description de la bête de Rome : qu'outre cette dignité naturelle, et l'étendue de l'empire romain, qui a été éludée dans les deux versets précédents, il a été ajouté ceci aussi comme miraculeux, cette tête fut pour ainsi dire blessée à mort, et guérie de nouveau comme du ciel, aux yeux de tous les hommes. Ce chef était Néron l'Empereur, en qui la race des Césars tomba de la dignité impériale, et le gouvernement de la république fut traduit à d'autres : entre les mains de qui l'Empire fut si guéri et guéri, qu'il semblait à tous tellement le jeûne plus profondément enraciné et enraciné que jamais auparavant.

De là découlent ces effets, dont il est ensuite question : Premièrement une admiration d'une certaine puissance, pour ainsi dire, sacrée et divine, soutenant l'Empire et le gouvernant ; Deuxièmement, l'obéissance et la soumission de toute la terre, dans ce vers : Troisièmement, l'adoration du dragon, et l'adoration la plus méchante des démons confirmée par les empereurs romains : Apocalypse 13:4 ).

Or, il y avait deux causes qui amenaient dans l'esprit des hommes cette religion : l'exposition d'excellence, qui apporte avec elle le respect ; et l'exposition de puissance invincible, qui apporte la peur. Qui ressemble (disent-ils) à la bête ? Qui pourra se battre avec lui ?

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