(17) Frères, je parle (i) à la manière des hommes ; Bien qu'il ne s'agisse que d'une alliance d'homme, pourtant [si elle est] (k) confirmée, personne n'annule ou n'y ajoute.

(17) Il énonce deux règles générales avant l'argument suivant, qui est le septième dans l'ordre. La première est qu'il n'est pas permis de rompre les alliances et les contrats qui sont justement faits et sont selon la loi entre les hommes, et rien ne peut y être ajouté. L'autre est que Dieu a fait ainsi une alliance avec Abraham, qu'il rassemblerait ses enfants qui se composent à la fois de Juifs et de Gentils en un seul corps (comme cela apparaît par ce qui a été dit auparavant).

Car il n'a pas dit qu'il serait le Dieu d'Abraham et de ses "semences" (ce qui pourtant aurait dû être dit, s'il avait des semences nombreuses et diverses, comme les Gentils d'une part, et les Juifs d'autre part) l'autre) mais qu'il serait le Dieu d'Abraham, et de sa "semence", comme de l'un.

(i) Je vais utiliser un exemple qui est commun parmi vous, afin que vous puissiez avoir honte de ne pas donner autant à l'alliance de Dieu qu'à celle de l'homme.

(k) Authentifié, comme on dit.

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