(19) Et ceci je dis, [que] l'alliance, qui a été confirmée avant de Dieu (m) en Christ, la (20) loi, qui était quatre cent trente ans après, ne peut pas annuler, qu'elle devrait faire la promesse d'aucun effet.

(19) Le huitième argument prend par comparaison, de cette manière : si l'alliance d'un homme (étant authentifié) est ferme et forte, beaucoup plus est l'alliance de Dieu. La Loi n'a donc pas été donnée pour annuler la promesse faite à Abraham à l'égard du Christ, c'est-à-dire dont la fin dépendait du Christ.

(m) Qui concernait Christ.

(20) Un élargissement de cet argument en ce sens : d'ailleurs et outre que la promesse est en elle-même ferme et forte, elle s'est aussi confirmée du fait d'être en place depuis longtemps, c'est-à-dire depuis 430 ans, de sorte qu'elle ne pouvait en aucun cas être rompu.

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