(2) Il bâtit aussi la maison de la forêt du Liban ; sa longueur était de cent coudées, sa largeur de cinquante coudées, et sa hauteur de trente coudées, sur quatre rangées de piliers de cèdre, avec des poutres de cèdre sur les piliers. (3) Et il était couvert de cèdre au-dessus sur les poutres, qui reposaient sur quarante-cinq piliers, quinze d'affilée. (4) Et il y avait des fenêtres sur trois rangées, et la lumière était contre-jour sur trois rangs. (5) Et toutes les portes et tous les poteaux étaient carrés, avec les fenêtres, et la lumière était contre-jour sur trois rangs.

Que cette maison de la forêt du Liban, soit ce que Jésus recommande dans la beauté de l'église, de la Tour du Liban, qui regardait vers Damas, je ne le détermine pas. Voir Cantique des Cantiqu 7:4 . Mais c'est assurément une douce idée qu'elle fournit sur le ministère des serviteurs de Dieu.

En regardant vers Damas, peut très justement, et sans violence au texte sacré ; être censé impliquer la vigilance des ministres, toujours aux aguets, comme des sentinelles sur les murs de Sion, sur les voies et les routes par lesquelles les ennemis de notre Dieu et de son Christ, viennent avec leurs attaques de Damas. En ce sens, l'église elle-même est dite terrible, comme une armée avec des bannières. Cantique des Cantiqu 6:4 .

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