(7) Et quand David apprit cela, il envoya Joab et toute l'armée des hommes forts. (8) Et les fils d'Ammon sortirent et mirent le combat en rang à l'entrée de la porte. (9) Quand Joab vit que le front de la bataille était contre lui devant et derrière, il choisit parmi tous les hommes de choix d'Israël, et les mit en rang contre les Syriens: (10) Et le reste du peuple qu'il livra à la main d'Abishaï, son frère, afin de les mettre en rang contre les fils d'Ammon.

(11) Et il dit : Si les Syriens sont trop forts pour moi, alors tu m'aideras ; mais si les fils d'Ammon sont trop forts pour toi, alors je viendrai t'aider. (12) Ayez bon courage, et jouons les hommes pour notre peuple et pour les villes de notre Dieu; et l'Éternel fait ce qui lui semble bon. (13) Et Joab s'approcha, et le peuple qui était avec lui, au combat contre les Syriens, et ils s'enfuirent devant lui.

(14) Et quand les fils d'Ammon virent que les Syriens s'enfuyaient, ils s'enfuirent aussi devant Abishaï et entrèrent dans la ville. Joab revint d'entre les fils d'Ammon et vint à Jérusalem.

De la même manière, les serviteurs de notre David Tout-Puissant, lorsqu'ils sont envoyés par lui, et sa présence divine les accompagnant, sont sûrs de la victoire. C'est une pensée précieuse, et à ne jamais oublier par le guerrier chrétien, l'issue de son combat n'est pas douteuse, mais sûre. Ce que Jésus a racheté par son sang, et ce pour quoi Dieu notre Père s'est engagé dans son alliance, ne peut jamais soumettre l'événement de la rédemption de son peuple à l'incertitude.

Éprouvés, les soldats du Christ peuvent être, et éprouvés ils le seront : mais ils doivent enfin vaincre. Jésus a fait la conquête ; et ils ne vainquent pas en eux-mêmes, mais dans le sang de l'Agneau. Apocalypse 12:11 .

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