(19) В¶ Alors Ahimaaz, fils de Tsadok, dit : Laisse-moi maintenant courir et annoncer au roi comment l'Éternel l'a vengé de ses ennemis. (20) Et Joab lui dit : Tu n'annonceras pas de nouvelles aujourd'hui, mais tu en porteras un autre jour ; mais aujourd'hui tu n'en apprendras pas, car le fils du roi est mort. (21) Alors Joab dit à Cushi : Va dire au roi ce que tu as vu. Et Cushi se prosterna devant Joab et courut.

(22) Alors Ahimaaz, fils de Tsadok, dit encore une fois à Joab : Mais, je te prie, laisse-moi aussi courir après Cushi. Et Joab dit: Pourquoi courras-tu, mon fils, voyant que tu n'as pas de nouvelles prêtes? (23) Mais quoi qu'il en soit, dit-il, laissez-moi courir. Et il lui dit : Cours. Alors Ahimaaz courut par le chemin de la plaine, et envahit Cushi.

Le Prophète a remarqué combien sont beaux les pieds de ceux qui, sur les montagnes, apportent des nouvelles de paix. Que ce soit le Ahimaaz aux pieds rapides, ou le Cushi au rythme plus lent, pourtant les nouvelles elles-mêmes étaient bonnes. Mais ah ! Lecteur! combien belles doivent être pour vous et pour moi les nouvelles du salut ! Et ceux-ci, (n'oubliez pas) JÉSUS lui-même a d'abord vraiment, et vraiment apporté. Qu'ils sont beaux ses pieds, à l'œil de la foi, vus sur la croix ! Qu'il est beau quand il vient dans la parole de sa grâce ! Qu'il est beau de sauter par-dessus les montagnes et de sauter par-dessus les collines !

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