RÉFLEXIONS

AVANT de clore le chapitre, permettez-moi de m'arrêter à nouveau et de revoir la miséricorde divine dans le rendez-vous de l'année de la libération. Laisse-moi contempler l'amour éternel du PÈRE, la grâce inégalée du Rédempteur et ta riche miséricorde, ô toi éternel ESPRIT ! du seul enseignement duquel je vois, dans cette ancienne représentation, la grâce éternelle et gratuite de JÉHOVAH dans la justice achevée de notre SEIGNEUR JÉSUS-CHRIST.

Oh! toi qui es venu dans la plénitude de l'amour donner la liberté au captif, la vue aux aveugles, et proclamer l'année de la délivrance à tous tes rachetés ! Salut, précieux Sauveur ! Béni soit à jamais ton nom, que lorsque notre pauvre nature déchue était enfermée dans la prison, pour y être restée pour toujours, en tant que débiteurs de la justice et de la loi infinies de notre DIEU, tu es venu plein de grâce et de vérité, tu nous as rendus à notre liberté, et non seulement tu nous as envoyés dans une heureuse liberté, mais aussi pleins des dons et des grâces du SAINT-ESPRIT.

Par quel nom t'appellerai-je ? ou à quel point de vue attachant te regarderai-je, ô rédempteur compatissant, qui, dans l'accomplissement de cette grande œuvre, as consenti à ce que son oreille soit percée jusqu'à la porte de la maison de ton PÈRE, afin que je sois libéré à jamais ? Ajoute une bénédiction de plus, AGNEAU de DIEU, à ces miséricordes indicibles, et fais que l'achat de ton sang et de ton service soit consacré à ta gloire : que comme je ne suis plus à moi, mais acheté à un prix, je puisse glorifier DIEU dans mon corps et dans mon esprit, qui sont à lui.

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