Ce précepte suit très bien celui des divorces. L'absence de l'objet que nous aimons engendre la fraîcheur ; et il serait bon d'être considéré par les mariés, si une grande partie de l'infidélité dont nous entendons parler dans la vie commune, ne commence pas par là. Mais qu'il en soit ainsi ou non ; bien je sais que l'absence de mes affections, du SEIGNEUR mon époux, et les soucis terrestres, qui éloignent tant mon âme de la fréquente communion avec JÉSUS, sont les tristes causes pour lesquelles mon cœur indigne et infidèle, vit si loin de lui. Oh! pour une jouissance plus constante de ta présence, très cher Rédempteur !

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