Si le lecteur se tourne vers Psaume 73:1 , et remarque les plaintes d'Asaph, sur le même sujet, il trouvera le meilleur commentaire à ce dont Jérémie parle ici dans son expérience. Il y trouvera aussi le meilleur remède, et que Dieu le Saint-Esprit enseigne, à la fin de ce Psaume. Il y a tellement de choses en effet là-dessus, et si vraiment bénies, et irréfutablement concluantes, que rien de plus ne peut être exigé.

Je prie seulement le lecteur de remarquer avec moi que Jérémie, comme Asaph, commence ses observations, en posant, comme une maxime sûre et infaillible, que, aussi embarrassé que puisse être le peuple de Dieu pour expliquer les voies de Dieu dans ses providences : il est certain que le Seigneur est juste et ne peut pas faire le mal.

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