Hawker's Poor man's commentaire
Job 42:17
RÉFLEXIONS
ET maintenant, adieu Job. Nous avons vu, dans votre histoire la plus instructive, la vérité bénie confirmée, que la fin de l'Éternel, dans les événements de son ministère de serviteurs et de ses vies sur terre, est très pitoyable et gracieuse, Doucement, sous l'enseignement divin du SAINT-ESPRIT, devons-nous apprenez d'ici que l'Éternel est juste dans toutes ses voies, et saint dans toutes ses oeuvres; et particulièrement dans la vie de ses serviteurs, qu'il ordonne et arrange toutes choses, de la manière qui favorisera le mieux ses desseins gracieux dans l'avancement de sa propre gloire et du bonheur de son peuple.
Satan peut être autorisé à exercer un certain degré de pouvoir ; mais aussi pénible que cela puisse être, pendant l'opération, pour la chair et le sang, le tout doit et doit servir à la disgrâce de l'ennemi, au confort des fidèles serviteurs de DIEU et à l'étalage de la sagesse, de l'amour et de la bonté divins. Aucune tentation ne les atteindra que ce qui est commun à l'homme, et avec chaque tentation, l'Éternel fera un chemin pour s'échapper, jusqu'à ce qu'enfin le DIEU de paix écrasera Satan sous leurs pieds.
Mais avant de faire un dernier adieu à Job, permettez-moi de regarder une fois de plus, et voyez par combien de choses il avait une ressemblance frappante avec mon adorable Rédempteur. Oui, bienheureux homme d'Uz, sûrement le SAINT-ESPRIT a gracieusement l'intention d'enseigner à l'Église, dans ton histoire, quelque peu, si faible que soit les contours, de ce sur quoi l'Église doit toujours être ravie de s'attarder ; de Celui qui est le premier et le dernier objet incessant de son affection.
Job était-il le plus grand homme de tout l'Orient ? Et qu'était JÉSUS, l'homme de sagesse, établi de toute éternité, mais le plus grand de tous, et le SEIGNEUR de tous, afin qu'en toutes choses il ait la prééminence ? Job était-il parfait et droit devant DIEU, quelqu'un qui craignait DIEU et évitait le mal ? Et qu'étais-tu, tu bénis JÉSUS, dans ta nature humaine, mais saint, inoffensif et sans souillure, séparé des pécheurs, et élevé au-dessus des cieux ? Job a-t-il été soudainement amené d'un état d'abondance à un état de pauvreté et de chagrin ? Et pouvons-nous t'oublier, adorable SEIGNEUR JÉSUS, qui, bien que riche, est pourtant devenu pauvre à cause de nous, afin que nous soyons rendus riches par ta pauvreté ? Satan a-t-il agressé Job dans son affliction et l'a-t-il secoué dans toutes les directions ?
Et pouvons-nous oublier tes tentations inégalées, ô toi prince des souffrants, quand du fleuve Jourdain au jardin, et bien que la croix, Satan furieusement fait son attaque contre toi, dans ta nature sainte, il ne pouvait trouver aucune partie vulnérable à ses flèches enflammées ? Mais ah ! précieux JÉSUS, quels étaient les conflits de l'homme d'Uz par rapport à ton homme de douleur et habitué à la douleur ? Quelle persécution, de la part de faux amis, dans l'histoire de Job, peut ressembler à la tienne, quand tu as enduré une telle contradiction de pécheurs contre toi-même, de peur que ton peuple ne soit fatigué et évanoui dans son esprit ? Beaucoup de tes fidèles serviteurs, par ta grâce leur permettant, ont agi avec vertu, mais tu les surpasses tous.
Oui, béni JÉSUS ! en toutes choses, il te revient d'avoir la prééminence, dans la souffrance comme dans la gloire, afin que tu sois le premier-né d'une multitude de frères. Il est doux et précieux de suivre les enseignements du SAINT-ESPRIT et de tracer, dans la vie de ton peuple, dans ces premiers âges de ton Église, les contours du caractère qui te sont typiques. Il est très profitable d'observer Job en train d'observer une vague ressemblance avec toi dans sa grandeur originelle, avec laquelle son histoire commence ! dans son humiliation, dans son intercession pour ses amis et dans son exaltation finale.
Mais ah ! Seigneur béni, permets-moi de regarder à travers toutes ces ombres à tes manifestations lumineuses, en venant de ta gloire dans le ciel, et en tabernacant sur la terre en substance de notre chair, tu as traversé des douleurs, des souffrances, des reproches, des persécutions portant nos péchés dans ton propre corps sur l'arbre, et mourant le juste pour l'injuste, pour nous amener à DIEU. Salut, toi tout-puissant JÉSUS ! maintenant DIEU notre PÈRE a tourné ta captivité et t'a béni au-dessus de tes semblables.
Maintenant, il t'a constitué et nommé Grand Souverain Sacrificateur et Intercesseur pour tous tes rachetés ; et toi, et eux en toi, il accepte. Et maintenant il t'a été donné une famille de Juifs et de Gentils, pour bénir ton nom, chanter tes louanges et t'adorer pour toujours. Et maintenant tout genou fléchira devant toi, et toute langue confessera que JÉSUS-CHRIST est SEIGNEUR, à la gloire de DIEU le PÈRE.
Je ne peux terminer cette partie de mes faibles labeurs, sans désirer m'effondrer devant le propitiatoire en signe de reconnaissance pour une miséricorde si distinguée qui s'est manifestée en permettant d'employer ainsi une plume si impie, implorant le pardon et le pardon pour tout ce qui est offert ici. . Je trouve cause, à chaque examen, d'avoir honte de la conscience à quel point, à quel point il est loin de l'original divin.
Bienheureux Maître, dirais-je, manifeste ta compassion accoutumée aux erreurs de cet humble travail. Préserve tous ceux qui le liront de l'injure dans la lecture : et, s'il te plaît de le confier pour de bon mais à l'un des tiens, à la souveraineté de ta grâce sera toute la gloire, en condescendant à faire usage d'un si pauvre instrument à un si grand service, pour travailler dans ton peuple à vouloir et à faire selon ton bon plaisir.