Bien qu'on puisse dire, dans un sens secondaire et secondaire, que ces bénédictions à l'Église étaient dans une certaine mesure données lors de la délivrance occasionnelle de Sion de ses ennemis, quand à tout moment le Seigneur comptait avec ses ennemis : pourtant, il était tristement énerver les Écritures, supposer que le Saint-Esprit indiquait des miséricordes temporelles en parlant du grand jour du Seigneur. De toute évidence, les jours dont il est question ici étaient les jours de l'Évangile, et à cette époque le temps du salut, par l'incarnation, la mort et la résurrection du Seigneur Jésus-Christ.

Et cette écriture, lue sous ce point de vue, ouvre un sujet des plus bénis. Quels remerciements l'Église doit-elle à Dieu le Saint-Esprit, pour avoir ainsi préparé l'Église tant de siècles avant la venue du Christ, à attendre et à attendre l'approche de son Seigneur. La vallée de Josaphat était proche de Jérusalem, comme si elle indiquait l'endroit même du ministère du Seigneur Jésus. Et comment la captivité de Juda et de Jérusalem a-t-elle été ramenée, sinon par la mort de Jésus ? Lecteur! à quel point ce sujet devient-il doux et béni, quand dans les nombreuses choses gracieuses qui y sont dites, vous et moi pouvons découvrir notre propre intérêt personnel pour eux ?

Continue après la publicité
Continue après la publicité