Nombres 20:9,10

La conduite de Moïse à cette occasion excita le déplaisir de l'Éternel, et la raison en est attribuée plus particulièrement : Nombres 27:12 . Si l'Éternel n'est pas sanctifié par son peuple, il sera sanctifié sur eux. Si le Lecteur est embarrassé pour découvrir quelle a été l'offense de Moïse dans ce cas, il la trouvera bientôt, quand il regardera le précepte du SEIGNEUR et le comparera d'un peu plus près avec la conduite de Moïse.

Le commandement de DIEU stipulait qu'il devait parler au rocher, il n'avait aucun commandement de le frapper : alors qu'il parlait au peuple et non au rocher, et contrairement à l'ordre divin il frappa le rocher deux fois. Les deux qui manifestaient son impatience, sa méfiance et son incrédulité. Ce n'était pas tout. Son langage au peuple était empreint d'une grande fierté, d'autosuffisance et d'arrogance : devons-nous NOUS puiser de l'eau dans - ce rocher.

Si Moïse comprenait aussi bien que Paul, que le rocher qui suivait Israël était CHRIST, n'était-ce pas oublier DIEU leur Sauveur, et regarder vers un bras de chair ? Hélas! qu'est-ce que l'homme, même l'homme le plus doux, par sa propre force ?