REFLEXIONS.

Je t'implore, gracieux Maître, de me donner une juste compréhension en toutes choses. Enseigné par toi, je découvrirai alors que tu es ici replié sur ce chapitre. Et cependant, comme autant de paraboles, je peux d'abord lire ce qui est écrit ici, bientôt, sous ton enseignement, j'apprendrai que de toi ils traitent, et c'est à toi qu'ils sont destinés à me conduire. - Et moi, mon âme, ai-je ainsi appris le Christ ? Jésus a-t-il été la parabole de l'Evangile à plusieurs reprises ? Et n'est-il pas très fréquemment dans les écritures de l'Ancien Testament ? Jésus le Lazare y était-il dépeint, pauvre et sans nourriture ni lieu de repos : meurtri, et couché à la porte des riches scribes et pharisiens, méprisé et enfin mort ; et tandis qu'ils ne le connaissaient pas, ils le portèrent au milieu des chars des anges dans le sein de son Père - et ne le vois-je pas ici, au milieu des paraboles,

 - celui qui disperse et pourtant augmente : l'âme libérale qui fait grossir - et ayant abreuvé les âmes assoiffées des pécheurs, est maintenant glorifiée par son Père ; et tout pouvoir lui est donné, comme médiateur de l'homme de gloire, dans le ciel et sur la terre ? Grêle! béni, précieux Jésus ! tu es celui que ton peuple adorera, et des bénédictions seront sur la tête de celui qui a été séparé de ses frères ; que Dieu notre Père a fait Seigneur Universel de notre Egypte; et dans la sagesse de qui, des dispositions sont prises pour vendre du blé, pour le salut de nos âmes, alors que sans toi, la famine du pain de vie, nous aurait fait périr à jamais.

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