Hawker's Poor man's commentaire
Psaume 140:13
RÉFLEXIONS
SEIGNEUR! Je te prie de ne jamais me permettre de penser à des afflictions ou à des peines pour eux, ni en moi ni en les saints de Dieu, sans garder en mémoire tes peines sans égal, dont le Seigneur t'a affligé au jour de ton œuvre de rédemption. Le chagrin fut-il jamais semblable au tien, tu as béni Jésus ? Et, Seigneur, pendant que je pense à tes peines, laisse-moi penser aussi à ta patience. Tu as été conduit comme un agneau à la boucherie ; et comme une brebis devant ses tondeurs est muette, ainsi tu n'as pas ouvert la bouche.
Et, béni Jésus ! que mon âme ressente toute cette douce complaisance et cette résignation dans chaque exercice, quel qu'il soit dans l'exercice, dans le souvenir que tu contemples, tu sais tout, tu nommes tout, et tu béniras finalement tout. Bien que mes ennemis vivent et soient puissants, pourtant si tu veux être mon aide, à l'ombre de tes ailes je me réjouirai. Oui Seigneur! tu m'emporteras, tu me feras sortir, et tu me ramèneras à la maison, et je serai plus que vainqueur, par ta grâce qui m'aidera.